dimanche 14 avril 2019

un

L’univers est né il y a treize milliards d’années. La terre est née il y a 5 milliards d’années. Je suis né depuis 46 années. Je ne serai plus là dans 46 années. La terre sera toujours là dans 5 milliards d’années et l’univers sera encore là dans 13 milliards d’années.
Tout ce que nous pouvons compter n’est juste qu’une portion d’infini.
Nous nous regardons dans le miroir et nous voyons un être biologique fait de chair et de sang mu par des impulsions électriques générées par une volonté née d’une forme d’intelligence elle-même peut être composée de chair mue par des impulsions électriques.
C’est ce que nous voyons tous dans le miroir et c’est une certitude, simple. De quoi pouvons nous être certains à part cela ?
Il y a 20 milliards d’années il n’y avait rien. C’est une certitude. Mais lorsque l’on évoque le rien il faut vraiment comprendre de quoi l’on parle. Rien ce n’est pas le vide car le vide à lui seul est déjà une existence. Cela voudrait dire que l’univers est apparu à un endroit de ce vide et qu’il l’a rempli et que le vide était déjà là avant le big bang.
La création de l’univers n’a pas rempli un vide car il n’y avait rien. Le big bang a à la fois créé la matière et l’espace vide dans lequel il s’est créé. C’est une certitude logique car comment imaginer ce qui aurait pu définir l’endroit où le big bang aurait eu lieu dans ce vide. Cela voudrait dire qu’il y avait déjà des règles physiques avant la création des règles physiques. Ou alors qu’un autre concept autre que celui de la physique de la matière était là et que ce concept n’a rien à voir avec le concept de la matière elle-même.
Mais qu’est-ce que la matière ? Dans l’univers tout entier la matière ne représente que 4% du total. Le reste c’est du vide. Tout ce qui nous entoure n’est rien d’autre que de l’énergie car la matière elle-même est une énergie. Les molécules sont faites d’atomes et les atomes sont faits d’éléments encore plus petits. Il apparait que le plus petit élément connu n’est rien d’autre qu’une onde et que cette onde devient matière dès lors qu’elle est observée et qu’à l’intérieur d’un atome la matière énergie observée ne représente que 4% de l’atome également.
Plus l’on se rapproche de la plus petite composition d’une particule et plus l’on s’approche du concept de ce qu’il y avait avant le big bang. C’est une certitude. On touche alors du bout du doigt le passage entre le rien et le « là » car dès lors que l’on peut dire là, cela implique une existence propre dans un environnement.
On conçoit alors que le concept de ce qu’il y avait avant le « là » est une partie propre et présente dans ce « là ». Le concept est ce qu’il y a juste avant le « là » et nous baignons dans ce concept car nous sommes tous constitués d’atomes, que tous ces atomes ont été créés il y a plusieurs milliards d’années également et que ce concept est au plus profond de nous et qu’il nous constitue.
Il n’y a donc pas eu d’avant ni de maintenant. L’univers est l’expression de ce concept et pour cette raison le plus profond du plus profond d’une particule est situé au même « endroit » que n’importe quelle particule ailleurs dans l’univers. Ici l’endroit n’est qu’une idée car au niveau de cette dimension l’espace n’a pas de signification. Ainsi, tous les atomes qui vous constituent sont tous liés d’une certaine façon à tous les autres atomes de l’univers. Nous pouvons dire que nous sommes tous un.
Je me regarde dans le miroir et je vois l’univers.
Mais qui suis-je alors ? quelle est cette conscience qui fait ce que je suis et surtout qui je suis ? ai-je toujours été également ? ai-je été créé juste pour cette portion d’infini ? Peut-être suis-je juste une sorte de robot biologique qui est auto-persuadé d’exister si ma conscience est créée par cette biologie matérielle. Ou alors peut-être suis-je autre chose…
Si j’existe juste le temps de cette portion d’infini ou si j’existe depuis toujours, l’importance est la même car si tout ce qui me compose est lié à tout ce qui compose l’univers alors je n’ai jamais été et je ne suis pas.
Si je suis unique dans ma conscience cela implique que les nouvelles consciences qui naissent sont des créations et que nous n’existions pas avant et que nous n’existerons plus après. Et comme nous avons compris que nous ne sommes pas constitués de matière telle que nous la concevons mais comme une énergie née d’un concept alors cela signifie que nous faisons partie également du concept et que le nombre n’a aucune importance. Que le nombre est une partie d’infini et que nous sommes nous-mêmes l’infini.
Tous autant que nous sommes, nous sommes les vagues d’un seul et même océan. Nous sommes créés par lui et nous retournons à lui. Lorsque je te regarde, je me regarde moi-même. Ce que tu vis, je le vis aussi. Ce que tu ressens je le ressens également. Le temps n’a pas d’importance car nous sommes là depuis toujours et nous sommes là pour toujours.
Nous sommes un.

dimanche 1 juillet 2018

L'impact des vies

Il faut comprendre que nos vies précédentes ont une action sur notre vie actuelle. Les choses que nous avons vécues sont en nous et influencent ce que nous sommes. Prenez conscience de ce que vous êtes et de vos motivations notamment de ce qui vous déplaît en vous et dites vous bien que vos pulsions, celles dont vous vous demandez d'ou elles viennent sont certainement le résultat de ce que vous avez vécu il y a deux ou trois vies. Notre personnalité, ses facettes ne sont pas construites uniquement avec ce que nous avons vécu depuis notre naissance mais bel et bien de ce que nous avons vécu depuis les 50, 70, 90 ou 130 dernières années.

samedi 24 mars 2018

Les enregistrements

Chaque action, chaque geste est enregistré et ne peut pas être effacé. Et il n'y a pas d'oubli. C'est ce que certains appellent d'ailleurs l'inconscient collectif. Chaque "enregistrement" participe à la communauté humaine.
Si l'on considère tout ce qui a été enregistré depuis l'arrivée de l'être humain on peut constater que dans tous les cas et dans toutes les finalités les êtres humains finissent par se rassembler et vivre ensemble.
Et il y a une correspondance entre les événements qui construisent une vie et les événements qui construisent l'humanité. Chaque personnalité est issue de son vécu tout comme l'humanité est issue des événements de la vie des êtres humains.
Considérer que chaque geste participe à la communauté c'est considérer et comprendre que nous faisons partie d'un ensemble et que nous ne sommes pas inconnu de cet ensemble. Sachant que nous sommes là pour l'éternité et que ce que nous réalisons dans tous les cas aura un impact sur ce que l'on sera amené à vivre dans les dizaines voire centaines d'année à venir.
Dès lors que l'on accompli un acte pour faire progresser l'humanité dans notre anonymat, alors cet acte est enregistré et se cumul à tous les autres. Les événements, les épreuves sont pour les êtres humains, tout comme chaque événement et épreuve personnel, un moyen de progrès vers l'accomplissement.

jeudi 7 décembre 2017

Unité et infini 2/2

Et nous dans tout ça, qui sommes nous? sommes nous des êtres dénombrables? Il apparaît clairement que oui car nous pouvons compter combien nous sommes sur cette planète.
J'évoquais avec un cousin l'idée que nous étions peut-être des êtres incarnés et que nous passions de vie en vie. il m'a alors fait remarquer que tous les ans de nouvelles âme naissaient sur notre planète, d'ou viennent elles?
La question était pertinente et la réponse difficile. En effet, si une âme s'incarne et que cette âme est présente et dénombrable il lui a fallu attendre plusieurs milliards d'années pour s'incarner?
La s'explique d'abord que le temps n'existe pas. Car ce n'est pas le temps qui conditionne l'incarnation ou non.
Reste la question de savoir d'ou viennent ces nouvelles âmes?
La première réponse pourrait être que le nombre d'âmes dans l'univers est fini et qu'un équilibre se fait entre les âmes qui quittent leur corps et les âmes qui en incarnent. Mais nous ne pouvons pas dissocier le nombre d'âmes et le nombre de corps. Cela signifierait que certaines personnes n'ont pas d'âme en raison d'un excédent de création de corps et signifierait aussi que certaines âmes peuvent ne pas pouvoir s'incarner en cas de manque de corps disponible.
Tout ceci est ridicule.
Et il y a la seconde solution. Nous n'avons pas d'unité propre. il n'y a pas de dénombrement possible des âmes qui existent incarnées. Il n'y a pas d'âme du tout d'ailleurs.
Nous sommes tous issus de ce qui ne se compte pas. Nous ne sommes pas plusieurs milliards de fois 1 mais nous sommes tous ensembles issu de ce qui ne se compte pas.
Nous sommes les vagues de l'océan qui s'échouent sur la plage. Nous pouvons les compter mais nous sommes tous l'expression d'un seul et même concept qui ne peut pas être compté. Je suis à la fois moi et toi et lui et elle et nous retournerons tous là ou l'on ne peut pas compter.
Nous ne sommes pas 1 car ce n'est pas la physique par le biologique qui nous a créé mais bel et bien des milliards de fois 1 unis à l'extérieur de la bulle quantique qu'est l'univers.
Je ferme les yeux et je remplis l'univers.....

Unité et infini 1/2

Qu'est ce que l'unité ? C'est être un, unique, comme le chiffre droit qui le caractérise. Mais comment ce 1 est il apparu pour la première fois? Si l'on dit qu'avant il n'y avait rien et que tout est né de ce rien alors c'est qu'avant il y avait tout de même quelque chose car rien ne naît de rien ! Mais s'il y avait quelque chose alors cela signifie que le 1 était déjà présent. Pourtant il n'est pas possible de le concevoir. Il ne peut pas exister un dénombrement aussi petit soit il que 1 si rien autour n'existe pour considérer ce 1.
Nous sommes passés lors du big bang de 0 à 1, tout simplement. Car nous sommes entrés alors dans une ère ou l'on a pu commencer à compter et c'est bien cela qui distingue ce qui existe matériellement de ce qui n'existe pas, de ce que l'on ne peut pas compter. 
Et nous touchons là l'infini à savoir ce que l'on ne peut pas compter. Non pas parce que les chiffres sont trop gros mais bel et bien par ce qu'il n'y a pas de fin tout comme l'univers. Si nous parvenions à nous déplacer vers le bord de l'univers à une vitesse plus importante que celle de l'expansion de l'univers lui même nous pourrions aller plus loin dans un lieu qui n'est pas encore créé. Ce serait un lieu qui serait exactement le même que celui qui existait potentiellement avant la création de l'univers.
Un lieu dans lequel rien n'est dénombrable et dans lequel nous n'existerions pas non plus.
L'univers connu est tout ce qui est dénombrable entre deux infinis qui ne le sont pas.
Nous sommes dans une bulle sans fin. Si nous quittions cette bulle nous nous retrouverions à l'intérieur de cette bulle mais de l'autre coté. Tout comme un curseur d'ordinateur peut quitter le bord de droite et se retrouver instantanément sur le bord gauche de l'écran sur le même plan. Pour cette raison nous ne pourrions pas quitter cet univers car en tant que présent dénombrable, nous ne pouvons pas atteindre et exister dans ce qui ne l'est pas.
Nous sommes confinés dans cette bulle immense qu'est l'univers et nous ne pouvons pas en sortir car au delà de cette bulle, rien n'existe.
Il arrivera un jour ou nous parviendrons, grâce à la physique quantique à créer des micro-bulles de déplacement spatio-temporelles. 
Imaginez créer une "bulle" qui engloberait à chaque bord la terre et la lune. Comme si vous représentiez sur l'écran de votre ordinateur la terre sur le bord gauche et la lune sur le bord droit. Pour aller de la terre à la lune dans l'espace comptable vous  devrez faire déplacer votre curseur sur toute la longueur de l'écran. Or si vous êtes dans votre bulle quantique et que vous allez vers le bord de la bulle, alors, vous vous retrouveriez instantanément au niveau de la lune.
La bulle quantique ne modifie en rien l'espace et le temps à l'intérieur d'elle même mais elle crée des frontières cosmiques qui permettent, de bord à bord de se déplacer de manière instantanée, avec très peu d'énergie. C'est un peu le principe de la téléportation chose que là, il n'y a pas de dématérialisation mais uniquement un déplacement physique dans un espace physique d'un endroit à un autre avec entre les deux, quelque chose qui n'existe pas.
Il ne faut pas chercher du coté des trous de vers entre deux plans de l'univers mais chercher comment se déplacer à travers ce qui n'existe pas. Etre assis sur un tabouret dans une bulle quantique, tendre le bras et pouvoir se gratter le dos....



dimanche 5 novembre 2017

Notre vraie existence

Cet article risque de vous troubler profondément si vous parvenez à en saisir le sens particulier.
Il faut considérer que nous avons un cerveau et que ce cerveau est le contenant et le créateur de nos pensées. Chacune de nos pensées est la réponse à un stimuli interne ou externe qui nous pousse dans la réflexion et/ou l'expression d'une parole. Nous ne sommes rien de plus que des robots organiques à vrai dire. 
Considérez un robot mécanique avec une intelligence artificielle qui se croit vivant. Quelle horreur pour lui de s'apercevoir que lorsqu'il n'existera plus ce sera terminé pour lui définitivement. Il n'a pas d'âme et ne peux donc pas croire à telle ou telle promesse religieuse.
Pour l'être humain les fonctions de réflexion sont les mêmes que l'intelligence artificielle de ce robot. Notre personnalité est créée de notre vécu et de notre histoire et notre façon de réfléchir dépend de ce vécu. C'est comme si nos pensées ne nous appartenaient pas en tant qu'être conscient car ces pensées ne sont justement que le fruit de notre organe cérébral. 
Regardez les gens parler et dites vous qu'au final ce ne sont que des matières organiques qui interagissent dans un environnement intelligent car chacun pense que sa conscience quittera son corps à son décès pour aller rejoindre tel paradis ou telle réincarnation.
Il n'en n'est rien.
Nous sommes inconscients lorsque nous dormons alors imaginez quand nous sommes morts....
Cela peut paraître effrayant voire même très démoralisant mais il y a un parallèle à réaliser.
Il faut considérer ce qui est physique, donc l'organique, de ce qui ne l'est pas. Car au final, n'oubliez pas que rien n'existe vraiment car notamment le temps n'existe pas non plus. il n'y a que des réactions en chaîne depuis ce que l'on a nommé le big bang, commencement de tout. Et comme rien de peut être créé de rien de manière physique il faut comprendre qu'avant le physique, le physique n'existait pas non plus. 
Nous touchons là la singularité de l'existence et nous sommes chacun liés à cette singularité et c'est pour cela que nous sommes infinis ou plutôt devrais je dire, nous sommes dans l'instant présent à jamais.
Arrêtez de considérer le temps et votre conscience comme quelque chose d'immatériel. C'est bien votre cerveau qui crée vos pensées par rapport à des stimulis internes ou externes et votre sentiment de conscience est créé également par votre cerveau lui même.
Nous sommes comme une voiture avec un formidable ordinateur de bord qui a conscience de son existence et qui choisit telle ou telle route en fonction des événements de son parcours. Reste que cette mécanique est dirigée par quelque chose qui ne l'est pas tout comme notre organique est dirigé par quelque chose qui ne l'est pas non plus. Et lorsque la voiture ne peut plus rouler, alors le conducteur change de véhicule.
Fermez les yeux et remplissez l'univers !

Avoir une vision globale

Pour comprendre la vie il faut en avoir une vision globale et non pas la vision particulière de notre vécu sur 5,10, 20 ou 90 ans. Il faut admettre que chaque événement arrive pour une raison particulière et que cela peut avoir des causes et des conséquences sur plusieurs vies. Appréhender la réalité de son infini permet de surmonter l'événement et de comprendre que la façon dont on vie l'événement est beaucoup plus importante que l'événement en lui même et ses conséquences à long terme sur notre vie actuelle. Surmonter le malheur, considérer l'échec, partager le bonheur et donner de soi sont des travaux personnels qui permettent de progresser et de tendre vers son accomplissement personnel.

dimanche 24 septembre 2017

Etre soi

Vous vous en êtes déjà voulu en raison d'une action que vous avez regrettée. Vous vous êtes aussi déjà félicité d'une action que vous avez réussie. Nous avons tous en nous différentes motivations ponctuelles ou permanentes qui influent sur nos actes. il s'agit de bien les identifier et de les contrôler. Là ou je parlais du soi qui doit se détacher de l'activité il faut aussi considérer que le soi doit se détacher des êtres que nous pouvons être avec leurs qualités et leurs défauts comme par exemple se détacher de sa colère ou de sa trop grande empathie.
Se détacher de ses propres êtres permet de se retrouver soi même. Dans la plus pure expression de soi.Sans envie, sans doute, sans vice, sans désir, sans haine, sans avidité. La plus pure expression de soi est au delà de l'amour dans un état présent infini de grâce pour celui qui aura su trouver le chemin de son propre accomplissement.
Alors vous fermerez les yeux et vous remplirez l'univers tout entier.

jeudi 21 septembre 2017

L'égoïsme de l'accomplissement

Lorsque l'on s'approche de son accomplissement il vient un instant un peu troublant qui peut être un frein traduit par un regret. En effet, lorsque l'on commence à ressentir cet grâce parfois constante l'envie est de vouloir la partager et d'en témoigner à son entourage. Or cette démarche est vaine car c'est un sentiment impossible à expliquer. On ne peut que le vivre. Dès lors on peut ressentir un regret.
Ce regret ne doit pas entacher votre progression et vous devez vous en détacher car dites vous que l'autre finira un jour, peut être dans quelques années à le ressentir également.
Il faut hélas être un peu égoïste dans cet accomplissement car cela est le fruit de votre travail sur vous et de tout ce que vous aurez su partager avant. 
Lorsque l'on a bien travaillé il faut savoir accepter et profiter du fruit de son travail.
Vous fermerez alors les yeux et vous remplirez l'univers.

dimanche 10 septembre 2017

S'accomplir en son temps

Il ne faut pas chercher à vivre le plus vieux possible dès lors que l'on a compris que nous sommes de toute façon éternels. Il est certain qu'il est douloureux pour ce qui restent de voir partir celui ou celle qu'ils aiment mais s'ils sont également dans la même vision de la vie, ils comprendront beaucoup plus facilement et seront au final heureux que vous ayez fait votre temps. Faire son temps.
Il faut comprendre et accepter que l'on quitte cette existence dès lors que l'on a accompli ce pour quoi nous étions là. Quand bien même l'ont ait 2 ans ou 100 ans. La compréhension de notre éternité permet de réduire considérablement toutes nos douleurs lorsque celui que l'on aime s'en va. S'il s'en va c'est qu'il a apporté ce qu'il avait à apporter et qu'il a donné ce qu'il avait à donner et qu'il ne peut progresser qu'à travers son existence suivante.
Tout ceci est encore très tôt à faire comprendre à l'humanité mais il fallait bien commencer un jour.
Que l'individu comprenne qu'il est une énergie éternelle, parfois incarnée pour s'accomplir et il guérira alors tous ses maux.